Lundi 22 janvier 2018

22 janvier 2018

Je suis retourné à la plage cet avant-midi. Celle qui garde mon sac s’appelle Siri et elle m’a proposé un massage que j’ai poliment décliné…

En après-midi, j’ai pris un bus jusqu’au Centro (historico) afin d’obtenir la programmation du festival de littérature HAY.

Folklorique le bus :

Quand on est prêt à descendre du bus, il suffit de crier « Parada » et le chauffeur s’arrête. Je me suis arrêté dans une pharmacie. Le pharmacien a jeté un œil dans mon oreille (c’est juste une manière de dire les choses) et m’a vendu des gouttes.

La publicité du festival mentionne que la billetterie se trouve Plaza de la Merced.

Comme les rues changent de nom aux deux ou trois intersections et ne sont pas toutes indiquées sur mon plan, je piétine. Un policier à moto fait un appel et me donne des directions.

Je trouve la Plaza, mais aucune affiche. On dit que c’est près du Teatro Alfonso Mejia, mais observez le nom inscrit en haut de ce théâtre : Teatro Heredia.

Je me renseigne auprès du gardien de l’immeuble à côté du théâtre et il m’ouvre les portes d’un cloître : Le cloître de la Merced et… la billetterie.

Je mérite bien un café au frais, le temps de consulter ma brochure. Chemin faisant, je suis tombé sur un bel endroit insoupçonné de la rue. Un pavillon d’université qui abrite également un institut de protection du patrimoine local. À l’origine, c’était une résidence privée. C’est joli et j’en fais le tour avec une guide, mais trop désert pour m’y attarder plus longtemps.